martes, 22 de julio de 2008

Bucuresti...de vuelta/ de retour

Volver a un lugar donde ya fuiste es lujo sabroso. Sobre todo me gustan los primeros momentos, cuando todos los recuerdos, almacenados en un rincon de mi cabeza, vuelven a vivir y a ubiccarse en la ciudad. Tal lugar se conecta con otro por un camino olviadado. A veces me pongo a reir sola viendo unos detalles que de repente recuerdan las impresiones del ultimo viaje.No cambio tanto la ciudad, pero mi mirada si. Se acabo la visita turistica, y ya empieza la vida de cada dia, y espero probar el gusto de una rutina "ephemere" .Necesite poco tiempo para orientarme en la ciudad y empeze con la ayuda de mis companeros de piso a marcar mi territorio en los lugares que iban a volverse como mis favoritos. El centro se recorre andando, cada manana doy un paseo iendo al trabajo, en el antiguo barrio de Lipscani, abandonado, medio destruido y oKupado por los gitanos...Es un campo de ruinas entre el viejo Bucarest del pequeno Paris del Este y el Bucarest del comunismo de Ceausescu. Asi es Bucuresti, mas que cualquier ciudad, hecha des estratos, de iglesias escondidas entre edificios de hormigon.... Revenir dans un lieu ou tu as deja ete est un luxe savoureux. J’aime particulierement les premiers moments ou tous les souvenirs, entasses dans un coin de me tete reprennent vie et place geographiquement parlant. Tel endroit redevient spatialement connecte avec un autre par un chemin oublie. Il m’arrive de sourire toute seule a la vue de petits details qui soudain faisaient echo a des souvenirs. Bucarest n’a pas tellement change, mon regard si. Exit la vie touristique, je passe maintenant a la vie quotidienne entend gouter au plaisir d'une routine ephemere...
Tres vite j ai repris mes reperes spatiaux dans la ville et commence, sur les bons conseils de mes colocataires, a marquer mon territoire dans des lieux qui deviendront peut etre desQG.
Le centre se parcours facilement a pied, occasion d une petite ballade quotidienne pour me rendre au travail, dans le vieux quartier de Lipscani, abandone, delabre, aux maisons ancestrales desertees sous le communisme et squatees aujourd'hui par les gitans...un champ de ruines entre le Bucarest du petit Paris de l'est et le Bucarest de Ceausescu. Bucuresti est ainsi, plus que n importe quelle ville faite de strates,de jeux de cache-cache et de chat et la souris entreune barre de beton et une petite eglise orthodoxe....

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