lunes, 31 de marzo de 2008
domingo, 30 de marzo de 2008
camino por cuba/parcours dans l'île
Mirada ARGENTINA versus realidad CUBANA
Parece que para cualquier argentino (al haber encontrado bastante ultimamente), Cuba tiene la imagen de la isla de la felicidad, donde todo va bien. Ya no se bien lo que podria contestar a esto...pero contestaré de manera muy general, sabiendo perfectamente que la realidad es mas compleja que esto y incluyendome en la masa que puedo criticar.La verdad es que si parecen mil veces mas felices que cualquier parisino que puedo cruzar en el metro, aunque si no sonreimos tal vez es cuestion de caracter. Ahi, sin tener muchas cosas, se "goza" de lo poco, y se goza a mil por cientos, como si no hubieran olvidado los placeres sencillos de la vida, que a nosotros a veces nos faltan. Lo bueno que veo ahi es que la felicidad parece estar destacada de cualquier idea de materialidad, a la diferencia de nuestras sociedades donde nos vende la consumicion como medio de alegrar nuestras vidas con el ultimo Ipod,un super coche, o cualquier otra cosa.Son las consecuencias de dos sistemas politicos en lados opuestos. Al reves, a mi ,como a muchos, nos pareceria imposible ser feliz sin un grado de libertad, y ahi falla todo. Me afrenté a los suenos de unos que me contaron sus ganas de salir,de conocer y descubrir como yo estuve en este mismo momento haciendo, con mis 22 anos. Salir del pais es complicado a todos los niveles. Las tarifas de los billetes de avion estan hechas para satisfacer las ganas de viaje de los del norte y de unos ricos privilegiados en otros paises. Me quedé totalmente callada al pensar en todo lo que habia visto ya en mi vida. La paradoja y la pena es que tienen un sistema de educacion tan bueno, con tanta curiosidad y posiblilidades, y casi no puede servir porque no hay opportunidad de informacion, de viaje, de comunicacion. Es un despilfarro enorme. Asi que no se...para concluir la pregunta primera seria definir en lineas generales a que aspiramos para ser feliz,no?Aunque siempre buscamos lo que no tenemos, y nos parece siempre mejor como vive el otro. Mas que volver con una critica de lo que puse ver de la sociedad cubana, vuelvo con una critica severa de lo que unos pocos imponen al resto del mundo con pretexto de saber como tendriamos que andar. Deseo mucho a los cubanos que encontré, incluso cosas que yo tengo, pero no los deseo seguir nuestro camino de manera tan directa, espero que encontraron otro, mucho mejor...
Il parait que tout argentin qui se respecte (pour en avoir rencontrer un certain nombre dernièrement), Cuba représente l'île du bonheur, où tout va bien. Je ne sais plus très bien quoi répondre à cela,tout est question de critères. Je me contenterai donc d'une réponse très générale, sachant parfaitement que la réalité est bien plus complexe et m'incluant dans la masse que je peux critiquer. C'est vrai que les cubains paraissent bien plus heureux que n'importe quel parisien que je croiserai dans le metro, bien que l'on puisse attribuer ces non-sourires à une simple question de caractère. Mais là-bas sans besoin de grand chose on profite, et à mille pourcent, comme si nous avions parfois oublier les petits plaisirs simples de la vie. Ce qui m'a frappé c'est le fait que l'idée de bonheur soit déttachée de toute idée de matérialisme, à la différence de nos sociétés où l'on nous vend la consommation comme moyen d'égayer nos vies en achetant le nouvel Ipod ou une voiture. Ce sont les conséquences de deux systèmes politiques en opposition totale.D'un autre côté, à moi, comme à beaucoup d'autres il nous appaitrait impossible d'être heureux sans un minimum de liberté, et c'est là que tout se complique. J'ai constaté lors de mes rencontres les rêves que chacun tenait en suspens, dans l'espoir un jour d'une hypothétique sortie vers d'autres contrées pour découvrir, exactement comme je le faisais à ce moment précis, du haut de mes 22 ans. Sortir de Cuba est compliqué à tous les niveaux. Les tarifs de billets d'avion sont pensés pour satisfaire les envies de voyages de" l'hémisphère Nord" et d'une poignée de privilégiés d'autres pays. En pensant à tout ce que j'avais connu à mon âge, je suis parfois restée muette. Le paradoxe et la peine de tout ça c'est que Cuba c'est aussi un système d'éducation ultra-développé et pour tous, avec une population cultivée et curieuse, et qui n'est pratiquement pas exploitée puisqu'il n'y a pas de possibilités de communication, de voyages..C'est un gâchis énorme. Donc je ne suis guère plus avancée..pour conclure on pourrait dire que la question est avant tout de définir en lignes générales à quoi nous aspirons pour être heureux,non? Même si nous cherchons toujours ce que nous n'avons pas en pensant que c'est toujours mieux et plus beau chez les autres. Plus que revenir avec un regard critique sur ce que j'ai pu voir et comprendre de la socitété cubaine, je reviens con une critique sevère de la poignée de dirigeants qui imposent au reste du monde avec le pretexte de savoir comme nous devrions avancer. Je souhaite beaucoup de choses au peuple cubain et à ceux qui ont croiser mon chemin, y compris des choses que nous avons ici, mais je ne leur souhaite pas de suivre notre chemin de manière directe, j'espère qu'ils en trouveront un autre...
seguir esperando/ en continuant à esperer
El Che es de cada viaje, de cada paseo, de cada cena. No puede escaparte de las orugllosas imagenes de la revolucion cubana.Sobre las paredes, las fachadas de cualquier edificion, en las autovias, 40nos despues de su muerte, sigue siendo una luz de esperanza para el pueblo que libero. A pesar de las desilusiones despues de tantas esperanzas y de una revolucion gloriosa, no pierden la fe en el, aguantan y "siguen adelante". Parece que aunque no pueda decir de manera tan afirmada, hay hoy una gran frontera entre los dos heroes de la liberacion en el espiritu de los cubanos, como si alguien hubiera robado sus suenos....
Une île, deux sociétés, une priorité.../Una isla, dos sociedades, una prioridad...
...Le touriste...à la fois Roi et pigeon de l'économie cubaine. Tout est fait pour lui et selon lui.
Développement de petits hôtels de charme dans la Havane et ses anciens palais "fatigués".Un réseau de bus parallèle s'est crée, avec prix occidentaux et confort,les cubains peuvent se contenter d'un réseau cette bon marché, mais beaucoup plus aléatoire.Pour le touriste tout est payant, ou pretexte à payer, pour le cubain tout est moins facile. La preuve , le nombre de cubains attendant sur le bord de la route un moyen de transport.Si l'accès internet existe, le prix de l'heure effrayant déjà le voyageur ne peut qu'éloigner encore plus le local de l'envie de surfer sur la toile. Le fossé se creuse entre ces deux mondes et rien est fait pour favoriser le contact avec la population locale...Bons nombres de rencontres cubaines me feront part de leur incompréhension vis à vis d'un gouvernement socialiste aux préoccupations...si capitalistes...
...El turista...a la vez rey y tonto de la economia cubana. Todo esta hecho para el y segun el. Desarollo de hosteles de lujo en los antiguos palacios de la Habana. Una red de autobuses parallela se ha creado, con precios a la occidental et conforto; los cubanos pueden satifacerse de una red, por lo menos barata pero mucho mas aleatoria..por eso vemos tantos cubanos esperar a lo largo de las vias del pais esperando un hipotetico medio de transporte cual sea. El acceso a internet esta, pero ya que el precio de la hora puede asustar el viajero, solo puede alejar todavia màs el cubano y sus ganas de communicacion. La separacion entre estos mundos sigue creciendo y nada esta hecho para sostener el contact con la poblacion cubana. Muchos me contaron su incomprension respecto a un gobierno socialista con preoccupaciones...tan capitalistas...
sábado, 29 de marzo de 2008
Nuestra noble Habana...
La Havane ou l'histoire d'une ville dont le nom suffit pour nous faire fantasmer...
Le décor s'y prête parfaitement et l'imagination suit. Mais les façades décrépites et aux couleurs délavées par le temps ne sont pas pour moi l'interêt principal de cette ville mais plutôt la vie que ses habitants ont développée. D'une ville usée à la richesse passée nait une vie sociale à la richesse plus que présente. Bien qu'aucun de ses habitants ne soit propriétaires de leur logement, les rues, couloirs et hauteurs sous plafond leur appartiennent plus que jamais, et est le théâtre de la vie quotidienne. La rue est un prolongement du salon. On s'y assoit, on disctute, on joue au domino, on danse, on joue au Base Ball, on joue tout court. Souvenirs de ballades nocturnes dans le Centro Habana, à l'heure où les portes s'ouvrent, la musique résonne et où les touristes rejoignent des contrées plus accueillantes...en apparence. Si les batiments ont une valeur patrimoniale certaine, le vent de rénovation à tendance luxueuse risque de mettre dehors une richesse sociale presque oubliée de nos capitales occidentales...
La Habana o la historia de una ciudad al nombre provocador de muchas fantasias. El ambiente esta, nuestra imaginacion sigue. Pero las fachadas
decompuestas y sus colores escondidas bajo los anos no es para mi el interes principal de la ciudad sino la vida qu sus habitantes desarollaron. De una ciudad cansada a la antigua riqueza nace una vida social a la riqueza mas que presente y actual.
Aunque ninguno sea el dueno de su casa, cualquier rincon parace pertenecerle y es el teatro de la vida quotidiana. La calle no es otra cosa que la extension del salon. Ahi nos sentamos, charlamos, jugamos al domino, bailamos, improvisamos un partido de base ball. Recuerdos de paseos por la noche en Centro Habana,cuando las puertas se abren , la musica suena y los turistas ya se alejaron para volver a sus cuartos en una Habana mas "limpia".Si los edifcios tienen un valor patrimonial evidente, un viento de renovacion a tendancia lujosa podria tener como consecuencia la disparicion de la riqueza sociale,casi olvidada de nuestras capitales occidentales...
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